“J’aimerais voir la joie.”
Kol peint des visages tristes avec des couleurs tristes. Je m’inspire des vraies personnes que je vois dans le bus ou dans la rue, me dit-il. Facile à croire, en effet. Kol peint aussi ses émotions, et là les gros plans deviennent larges et les personnages plus énigmatiques. Mais ce qu’on ressent surtout à la vue de ses tableaux, c’est une sorte d’urgence et d’instinct plutôt primordial, qui le pousse sûrement à mettre sa rationalité en veille pour mieux éveiller … Lire la suite