CdL 37 : Hans le matin danse
Je crois bien que, quand on meurt, on va à Lausanne. Enfin ce que je constate, c’est que je suis mort, il me semble, et qu’apparemment je suis resté à Lausanne (quand on meurt, on n’obtient aucune réponse, désolé, simplement on se rend compte que toutes les réponses ne nous sont pas ontologiquement plus utiles à l’existence que les Croc’s mauves, l’horloge pointeuse, ou les fonds de pension – on se rend aussi compte qu’on avait plus de vocabulaire que … Lire la suite