Contre un expresso bien sucré, Pablo veut bien se prêter au jeu. Lausanne n’est pas Madrid, mais pour le cœur d’une fille, on peut bien quitter l’Espagne…
LBB : Quelle chanson Lausanne pourrait vous inspirer quand vous chantez sous la douche ?
« Singing in the rain ». C’est ce que m’inspire la météo automnale…
LBB : On dit de Paris qu’elle est la ville lumière, de Rome, la ville éternelle, New York, la ville qui ne dort jamais, que pourrait-on dire de Lausanne ?
Lausanne, la ville des 1001 pentes.
LBB : Si Lausanne était envahie par les extra-terrestres, ils iraient où pour s’éclater le soir?
À la Cathé !
LBB : Si vous deviez vendre la ville, quel serait le slogan ?
« Lausanne, capitale de l’Olympe ».
LBB : L’emblème de Porrentruy est un cochon, Berne a son ours, Genève son aigle, quel animal sur le drapeau de Lausanne ?
J’hésite entre un pigeon et un dragon… Le dragon est plus fantastique… Ou alors, la Chimère du Palais de Rumine ! Un truc mixte pour une mi-ville, mi-campagne, mi-figue, mi-raisin…
LBB : Qu’est-ce que vous adorez le plus à Lausanne ?
La proximité, je peux me déplacer partout à pied. J’aime retrouver les gens au marché et dans les bistros, comme dans un village. Et puis, j’aime le lac et le M2.
LBB : Qu’est-ce que vous détestez le plus à Lausanne ?
Je déteste les prix, les rues désertes, les bobos qui achètent des appartements hyper chers et les employés de Philip Morris.
Et pour ceux qui s’amusent à répondre dans leur tête à ces questions et qui aimeraient partager leurs réflexions avec nous, contactez-nous ici et devenez la prochaine star des Deux cafés et l’addition !
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