C’était mi-janvier. La neige était enfin tombée et tout le monde se félicitait de l’hiver qui était enfin arrivé. Du froid sibérien, une pellicule blanche sur les toits et des reportages connus par cœur au 19h30.
Ce soir-là, en me baladant à Lausanne, c’est les pavés qui m’ont attiré. Les pavés, c’est symbolique ! : “Sous les pavés, la plage!”.
En regardant les pavés de la Palud, je me suis demandé ce qu’ils avaient vu. Des milliers de jours de marché. Des dizaines de tonnes de confettis et de riz. Des hectolitres de blanc et de bières. Des dizaines d’heures de “Vite, c’est l’heure des marionnettes !”.
La nuit est tombée et j’ai posé mon genou sur ces pavés pour y être au plus près. Comme j’aurais voulu qu’ils puissent parler !
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