Un regard sur Lausanne : Le couloir de Georges

Georges avait toujours une montre en main, sous forme de téléphone intelligent. Depuis sept ans, il avait déménagé dans la villa que sa femme et lui avaient pu acheter. Le quartier était sans saveur et la vue sur le lac, un rêve oublié. La prêt immobilier était par contre sans cesse rappelé. La campagne, être propriétaire, c’était le mieux pour fonder une famille. Penduler pour s’offrir ce luxe était un compromis raisonnable au moment de la signature, les kilomètres de distance … Lire la suite