Georges, tu avais raison pour le parapluie

  En arrivant ce matin-là, sous la pluie, à l’UNIL, je me fais la réflexion que personne n’a la galanterie de me proposer un bout de parapluie. Je galère avec mon écharpe, transformée pour l’occasion en capuchon improvisé et malheureusement peu étanche.   Monde individualiste et cruel. Plus du tout romantique pour un sou.   En sortant deux heures plus tard de Géopolis, toujours sous la pluie, toujours bougon (et en plus remontée par les propos académico-centrés de la profe), … Lire la suite