Balélec, l’éternel premier
Balélec, c’est un peu au noctambule lausannois ce que le coquelicot est au randonneur : un signe du retour du printemps, du retour aux affaires. Finies les soirées « choc thermique » où l’on oscille douloureusement entre les -10°C de la rue et les +35°C du club. Envolée cette crainte de mourir givré sur un quai de gare en attendant le premier train. Place aux apéros dans les parcs et aux doux gazouillis d’oiseaux sur le retour au petit matin. Après une … Lire la suite