
SAMEDI 30 DÉCEMBRE 2017 – Flappers Burlesque Show au D! Club
Envie de terminer l’année sur une note colorée, sensuelle et légère ? Le tout, sur une bande-son rythmée, saupoudrée de paillettes et surmontée de plumes ? Alors laissez-vous entraîner par une troupe de flappers, tout droit arrivées des années 20 ! Le mot flappers signifie littéralement « jeune fille délurée » et désigne plus précisément les jeunes femmes aux allures garçonnes et aux mœurs libérées durant les années folles aux Etats-Unis. Le D! Club servira le temps d’une soirée d’écrin à des chorégraphies toutes plus poétiques et endiablées les unes que les autres, exécutées par six artistes burlesques venues de toute l’Europe. Pour les novices, les shows burlesques sont une magnifique occasion de plonger tout entier dans une ambiance cabaret digne des soirées les plus délurées et délirantes de l’âge d’or du Charleston. Pour les initiés, cette soirée sera l’occasion de (re)voir Lilly Bulle, artiste et productrice burlesque romande de renom, qui s’est entre autres à plusieurs reprises produite au Lido Comedy Club (aujourd’hui fermé). Elle est notamment à l’origine du spectacle proposé en cette fin d’année par le D! Club.
Alors, novices en la matière ou habitués des robes à franges, ce spectacle est pour chacun l’occasion rêvée de finir 2017 en musique et en beauté ! Toutes les infos sur cette soirée ici. Manon

DIMANCHE 31 DÉCEMBRE 2017 – Embrasement de la Cathédrale
Le concept des bonnes résolutions pour la nouvelle année, un impact globalement positif ou négatif ? Voyons un peu.
: Bah si ça peut aider à mobiliser un peu d’énergie et de motivation pour aller dans de bonnes directions, même si ça dure pas trop, c’est toujours mieux une fois par année que pas du tout non ?
: Une belle excuse pour paresser, s’empiffrer et boire comme un trou pendant toutes les fêtes pour soi-disant se reprendre à partir du 01.01. Mais ça ne tient pas trois jours et au final on a fait que cultiver le vice dans son cerveau 😛
Mon avis perso : Nouvelle année, nouvelle humanité ? Sûrement pas, mais nouvelle année quand même, il n’y a sûrement pas de mal à marquer le coup, et à faire briller les yeux des enfants 😉 Le meilleur moyen pour ça à Lausanne, ça reste l’embrasement de la cathédrale à mon avis. Visible depuis de multiples spots bien-sûr, mais notons l’organisation d’une ambiance festive sur l’esplanade de la cathédrale, avec champagne, vin chaud, thé et jus de pommes ! Lucien
DIMANCHE 31 DÉCEMBRE 2017 ET SAMEDI 6 JANVIER 2018 – « Retour vers le futur »

NON DE ZEUS ! Il est possible de voir (ou revoir) « Retour vers le futur » sur grand écran. La Cinémathèque le projettera en version originale sous-titrée français, à 15h00, le dimanche 31 décembre 2017 et à 21h00 le 6 janvier 2018. Véritable film culte, sorti en 1985 et réalisé par Robert Zemeckis, ce film pour toutes générations confondues est à voir et à revoir sans modération. (Re)découvrez la DeLorean volante qui voyage à travers le temps, Doc, un scientifique un peu fou, Marty Macfly, un jeune homme qui ne supporte pas qu’on le traite de mauviette, Biff Tannen (hé banane), ainsi qu’Hill Valley et la fameuse horloge de son hôtel de ville. Un moment de rire garanti, parfait pour bien terminer son année ou commencer la suivante ! Même si les effets spéciaux ont vieilli, ce film vaut le détour, ne serait-ce que pour ses personnages, ses dialogues, sa musique et son scénario. Toutes les informations sont accessibles sur le site de la cinémathèque suisse et la bande annonce est ici. PS : la suite est tout aussi géniale! Camille

JUSQU’AU 8 FÉVRIER – Exposition « Trop, c’est trop ! : mythes et limites » au Musée romain Lausanne-Vidy
En hiver, la marmotte et la chauve-souris réduisent drastiquement leur température corporelle, leur consommation d’aliments et d’énergie. Chez l’être humain c’est l’inverse, persuadé qu’en mangeant davantage en hiver, il luttera plus efficacement contre le froid. Cette conviction, qui s’avère inexacte, symbolise assez bien l’habilité de la créature que nous sommes à s’octroyer des droits au seul nom de sa jouissance personnelle. Aussi, sans discernement ni considération pour son environnement, l’homme pompe chaque jour outrageusement les ressources naturelles et creuse lentement sa tombe à force d’intoxiquer et de dérégler son propre écosystème (ère de l’anthropocène). A l’aune du concept antique grec de l’hubris (excès, démesure, orgueil en grec ancien), l’expo « Trop, c’est trop ! » analyse les limites des mythes contemporains de la croissance économique perpétuelle et de la vie éternelle. Dans cette expo, un supermarché du futur rempli de gadgets transhumanistes et autres créations transgéniques vient par exemple nous questionner sur notre destin : si la technique devait définitivement prendre le pas sur l’éthique (humaine, sociale et environnementale), une autre finalité que le chaos est-elle envisageable pour notre espèce ? La question à elle seule justifie une visite de cette expo qui a été prolongée jusqu’au 4 février. Toutes les autres infos sont ici. Yoan
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