On n’arrête décidément pas de les écorcher ces pauvres bobos. C’est personnellement avec une affection véritable que je les décris ici tels que je les vois. Ils font partie de ce décor citadin qui m’est si familier. Une ovation pour eux, woopee!
Gab –
2 Responses
loulafayette
C’est tellement juste.
mitch
Excellent!