De la critique sociale… à l’exil en campagne.

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Licenciée en Sciences Sociales à l’Université de Lausanne en 2009, Marie explore en peinture des thématiques qui l’ont interpellée tout au long de ses études. Cette série de tableaux colorée, grinçante parfois humoristique ne peut vous laisser indifférent. Après ces longues années de labeur, elle part voyager pendant deux mois ; une sorte de pèlerinage sur la route de Compostelle. Elle redécouvre la nature ; une nature qui lui inspire la deuxième série de tableaux qu’elle exposera et qui s’intitule “Trêve”. Le LausanneBondyBlog vous fait découvrir les inspirations de cette jeune artiste. 

Quand les printemps se mettent à danser !

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Pour la douzième année consécutive, le festival Les Printemps de Sévelin met en avant la chorégraphie régionale, suisse et internationale. Il sert de tremplin et offre un cadre professionnel à ceux qui portent peut-être la danse de demain. Mais qui sont-ils? Parmi eux, le chorégraphe Jean-Philippe Guilois qui y présentera sa pièce H.P.S le 3 et 4 mars prochain. Le Lausanne Bondy Blog a saisi l’opportunité de le rencontrer en compagnie d’une de ses interprètes, Jessica François. Regards de celui qui dirige la scène, et de celle qui l’investit.

Lieux d’être. Lausanne, Athènes et Istanbul.

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Après avoir suivi des études d’arts appliqués à Vevey, puis en communication visuelle et d’arts visuels à l’ECAL, Marika Zisyadis a reçu une bourse d’art plastique du Canton de Vaud qui lui a permis de mettre en place le projet de ce film poétique retraçant le parcours migratoire de sa grand-mère paternelle. Le film a été tourné en Grèce et en Turquie. Il est parsemé de souvenirs de cette femme, Sol Behar, juive sépharade, émigrée en Grèce puis en Suisse depuis le début des années soixante. Rencontre avec cette réalisatrice.

De la rue aux Murs!

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Dominique Bourquin, propriétaire de la boutique Cardas à Lausanne, a invité les deux artistes à exposer leurs oeuvres dans le caveau qui se trouve en face de son magasin. Dominique, originaire du canton de Neuchâtel, connaissait Wilo depuis longtemps déjà, il avait vu sa première exposition de graffiti sur toiles. Il me dit qu’il avait trouvé cela sympa et peut-être plus accessible à un large public. Après avoir vu ses dernières réalisations via son site internet, il a repris contact avec Wilo pour lui proposer une exposition à Lausanne. Le caveau en question appartient à la boutique Cardas, mais il était vide depuis quelques temps et se prêtait bien, comme le dit Dominique, à une exposition qui plus est de ce type.

Maladie sonore

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Cette jeune rappeuse suisse et libanaise de talent envahit les scènes de la région romande et bien au-delà. Elle collabore avec différents artistes dont Abstral Compost, Rynox ou Malikah mais a aussi intégré le collectif libanais 961 underground. La Gale écrit en français ou en arabe sur des thèmes tels que les inégalités sociales, mais dénonce également les situations politiques en Europe et au Moyen-Orient.

Septième ciel

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Depuis trois mois maintenant, un « sensual-shop » s’est ouvert dans une galerie en colimaçon au cœur de la rue de Bourg, une des rues les plus huppées de la capitale vaudoise. Alain Métrailler, patron de la boutique et ex-vendeur d’une chaîne de magasins érotiques, a décidé d’ouvrir sa propre échoppe dédiée principalement aux femmes et aux couples. Travaillant dans le secteur depuis de nombreuses années, il a côtoyé des femmes qui venaient dans les sex-shops mais qui manifestaient d’autres envies et demandes que ce qui était proposé dans ces grands marchés du sexe.

09 KACHH: initiation au graffiti

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Comme nous l’a présenté Cristina (lire Initiations à la culture Hip Hop), deux étudiants de l’école d’études sociales et pédagogiques ont décidé dans le cadre de leur projet de fin de formation d’organiser des ateliers dédiés à la découverte et à l’initiation à diverses disciplines du Hip Hop. Le premier samedi du KACHH (kiosque à culture hip hop) fut consacré à l’un des arts de rue : le graffiti. Deux animateurs, Renaud et Luthor, étaient là pour encadrer et guider les apprentis graffeurs. Accompagnée de Cristina et d’une caméra, je suis allée faire mes premiers pas en tant que reporter-vidéo ! Grâce aux conseils et au savoir-faire de nos amis de la TV Bourdonnette, je vous présente une petite rétrospective en images de cet après-midi lôzanois.

Lausanne ou la mode identitaire

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Le badge est à nouveau “féchon”, il se porte épinglé à un veston, une sacoche ou une chaussure. “C’est dans l’air”, m’a confirmé Babette, patronne de la boutique Maniak, qui commercialise ces badges originaux. Cette tendance locale telle que I Love Bourdo, Renens ou 1024, 1003, 1020, 1018 est née, comme elle me l’a expliqué, suite à la demande de clients. Chez Maniak, ils ont axés sur la proximité et la minorité et, d’après Babette, c’est pourquoi l’on y trouve aussi des I Love suivis de noms d’équipe de foot, de pays, etc. ou toutes sortes de motifs revendicatifs ou simplement amusants.

« La dérive du roi » : Que mes caprices soient des ordres !

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Après des expériences encourageantes d’échange autour du théâtre et du cirque réalisées en 2007, Enfants du Monde (EdM) a réitéré l’expérience en lançant en 2008 un projet théâtral réunissant de jeunes Haïtiens de Port-au-Prince et des acteurs de l’association Saj Veye Yo. Le souhait d’EdM était alors d’encourager l’échange non seulement interculturel mais aussi pratique entre professionnels du milieu social et artistique.

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