Soirée My Lausanne au Standard: Un succès!

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Vos blogueurs et serviteurs, amis du ouèbe, vassals fidèles et pigistes au grand coeur ont organisé leur première soirée spéciale LBB, avec expo photo en prime sur les murs mordorés du Standard Café. Autant vous dire que notre videur (celui-là même qui menaça jadis Yann de mort (cf. article Bouncer in the dark)) a refoulé un paquet de monde. Le collectif Sonotone a fait rocker l’assemblée jusqu’aux petites heures. La cervoise a coulé à flot, les booties ont shaké, les amplis ont pratiquement lâché: en un mot comme en cent, une soirée réussie! La preuve en quelques images:

Ah, ces nanas!

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Juste une anodine anecdote qu’on vit une fois l’an devant son armoire. C’est ça aussi la société de conso.

Changer de vie grâce au gymnase du soir

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Une soif d’apprendre et une motivation en béton armé lui ont permis de déplacer des montagnes ; non content d’avoir obtenu son ticket d’entrée à l’Université en deux ans grâce au préalable SSP, il est aujourd’hui diplômé en psychologie et brillant doctorant, tout en poursuivant également un chemin de clinicien en tant que thérapeute de couples. En plus, ayant gardé des liens très forts avec les personnes qui ont enrichi son parcours de vie durant le gymnase du soir, il y enseigne depuis peu le français et la philo, deux soirs par semaine. La boucle est bouclée… un exemple inspirant pour quiconque sait au plus profond de lui-même que « quand on veut, on peut ». Interview.

The strange case of Benjamin Button ou comment ai-je pu en arriver à oublier Brad Pitt.

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Ni une ni deux, l’aventurier au cœur pur en moi s’est levé comme un seul homme, a chaussé ses bottes les plus moches (mais il faut bien le dire, protection efficace contre le froid et le verglas ne fait guère bon ménage avec une esthétique soignée à la Sex and the City, et je vous renvoie pour démonstration à l’excellent papier de notre ami Michael à propos des flocons de neige), a enfilé ses bottes les plus moches disais-je, son bonnet qui gratte et qui ruine tout espoir de ressembler à autre chose qu’à un balais brosse une fois enlevé, sa veste de trappeur du grand nord, et zou, direction le cinéma le plus proche en espèrant arriver vivante à mi Petit-Chêne, quand les bottes moches en question fouleront le sol béni dudit cinéma.

Quand la télé française se mêle de résoudre la crise, il y a de quoi pleurer de rire

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J’ai noté dernièrement sur les chaînes françaises la floraison étonnante pour ne pas dire suspecte d’émissions courtes ou longues, mais se déclinant à peu près toutes selon la formule suivante : t’as pas un rond, t’es pas fute-fute, et tu peux plus joindre les deux bouts ? Qu’à cela ne tienne, on envoie notre armada d’experts en tous genres, histoire qu’ils t’expliquent un peu la vie et cossa, avec un peu de bol, tu réussiras à épargner cinquante euros tous les mois. Si c’est pas chic, ça. 

Gaza

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 … et nous, ici, sommes-nous vraiment capables de se figurer ce que doit être leur réalité?

Après les fêtes

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 Après la dinde et les huîtres, il est temps de se remettre au boulot! Heureusement, on a bien pris des forces.

Chute libre

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Les gars, moi je vous l’dis. La fin d’année, Noël, tout ça, c’est bien joli. Mais nous on sait bien que la fin d’année c’est surtout le bouclage de toutes les ultimes échéances accumulées depuis les vacances d’été. Et ça fait mal, quand arrive le moment de partir au ski avec les enfants, de payer à la buvette des pistes une assiette de frites 35 francs.

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