Pas de pitié pour les nonante! Vol. 2

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Fans d’AB Production, nostalgiques de la première heure et déglingos. Certains d’entre vous auront remarqué le post  it – juste là, à droite – annonçant la giga prochaine soirée où tout est possible, de la dance au quart d’heure américain. Hé oui, “Pas de pitié pour les nonante” est de retour! Jeudi 22 avril au Loft club. Alors sortez vos pogs, courez acheter vos préloc’ au Café Saint Pierre et visionnez ces quelques images, histoire d’apaiser l’attente… Comme dirait l’autre: ça va chauffer dans les bermudas!

Rubrique People, quand tu nous tiens! IV

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Nous revoilà, prêts à commenter les péripéties de ces gens dont la vie trépidante mérite une place dans les infos. Il est vrai que les people fascinent et turlupinent. Alors quoi de mieux pour débuter une nouvelle semaine en leur compagnie que de jeter un œil sur la précédente ? Une question se pose : que s’est-il passé ces derniers jours ? Piochons de-ci de-là quelques anecdotes incontournables, de quoi se ressourcer jusqu’au prochain épisode.

Le Funk s’installe à Lausanne !

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Les Enfants de Jean Brun. Qu’est-ce que c’est ? Une organisation caritative ? Un orphelinat ? Un collectif de jeunes poètes ? Non non. Une association lausannoise qui cherche à promouvoir la scène Funk actuelle et internationale. En anglicisant ce nom mystérieux, on comprend mieux la référence… Ben oui, James Brown ! Ca, tout le monde connaît. Ce qu’on sait moins, c’est que le Funk ne s’arrête pas là. Et LEJB compte bien mettre Lausanne à la page !

Rubrique People, quand tu nous tiens! III

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Pardon. Tant de temps sans nouvelles des gens, c’est dur. Alors quoi, petit bilan de l’année 2009 ? Que nenni ! Il nous faut du sang neuf, du sang frais. De l’actu au jour le jour. L’info people ne se conserve pas messieurs dames, elle se consomme, là, tout de suite, maintenant ! Sans plus attendre, revenons sur cette semaine comme les autres.

In Jazz we trust*

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Alors que le soleil commence à peine à repointer sa face, l’annonce de la programmation du Cully Jazz souffle un vent printanier loin d’être désagréable. Entre un café et des petits fours, conférence de presse oblige, confortablement installée au café de la Fnac à Lausanne en ce mardi 19 janvier, j’ai découvert les artistes invités à l’édition 2010. Comme à son habitude, la programmation est pointue, riche et non mainstream. Plein de musiciens que je ne connais pas du tout – vive la découverte ! – et quelques noms familiers qui me donnent immédiatement le sourire – vivement le mois d’avril ! Pour oublier au mieux ce froid de vilain, piochons parmi ces derniers de quoi proposer une façon de projeter ces quelques jours à Cully.

Grippe Aïe

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Elle triple, elle avance, elle se propage, elle nous bassine et on l’attend toujours. Depuis des mois, on ne peut échapper aux grands discours sur cette grippe pas comme les autres, au parfum de fin du monde à en faire pâlir tous les mayas. Arriverons-nous jusqu’en 2012 ?? Certains spécialistes nous disent de ne pas la prendre à la légère. D’autres dénoncent le complot des industries pharmaceutiques, et l’hystérie sanitaire ambiante. Il y a deux jours à peine, Rue 89 se demandait où était passée la fameuse pandémie, sachant que la grippe “porcine” H1N1 avait été moins mortelle que la grippe saisonnière habituelle. « Pas de quoi fouetter un cochon! » poursuit cet article. Alors quoi qu’il arrive, vaut mieux en rire qu’en pleurer comme on dit. C’est du moins le parti pris par une association lausannoise, toujours prête à propager la bonne humeur.

« Nous ne savons pas d’où ils viennent et ils ne savent pas où ils vont. »

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Après deux mois d’immersion dans le centre d’accueil des demandeurs d’asile de Vallorbe, le réalisateur Fernand Melgar a su capter des images qui ne laisseraient pas indifférent le plus fervent membre de l’UDC. Pas pour rien qu’il a décroché un Léopard d’or au festival du film de Locarno en 2008 dans la section Cinéma du présent. C’est dans ce centre de transition que les destins se décident. Voyons si tu as suffisamment souffert, si ta vie est suffisamment menacée pour te garder parmi nous. Ce documentaire révèle non seulement les drames de ces personnes que l’on renvoie d’un pays à l’autre comme une patate chaude, mais aussi la difficulté de ceux qui gèrent ces situations au quotidien, ceux qui décident. Il soulève l’aspect déshumanisant de la noyade procédurale que cela implique, et les incohérences du traité de Dublin : un requérant, quels que soient ses motifs, est renvoyé dans le premier pays européen dont il a foulé le sol. Fallait pas faire de détour avant de venir ici, à présent tes problèmes ne nous concernent plus.

La revanche du nanar

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Lilliputien mangeur d’homme, ninja extra-terrestre, chat mutant et Chuck Norris. Tout est possible dans le nanar. « Toi, tu commences à me baver sur les rouleaux » a-t-il prononcé. Sacré Chuck ! Dire qu’on n’imaginait plus les revoir, lui et ses homologues, sur grand écran. Mais l’association Nanarprod en a décidé autrement. A force de se réunir pour partager leurs dernières trouvailles en la matière, une bande de potes a décidé de créer une association, puis un événement permettant de projeter sur la toile des films et extraits de films du genre. « Ce sont des navets qui ont la chance d’être suffisamment excentriques, bizarres ou mal faits pour nous faire rire ». Costumes, doublage, musique, dialogues, aucun détail n’y échappe. Un tout que les soirées Nanaratomik proposent de savourer à hautes doses. Frédéric Bellenot m’en dit davantage.

Pas de pitié pour les nonante: un succès!

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Mais quels chanceux nous fûmes! Toute une brochette de célébrités des 90’s se sont déplacées pour célébrer les un an du Lausanne Bondy Blog: les ghostbusters, Annette et Ari de Premiers Baisers, Kriss Kross, Drazic et Catarina de Hartley coeur à vif, Slater et Lisa de Sauvés par le gong, les TLC, Mademoiselle Musso du lycée Santo Domingo de Parker Lewis, et plein d’autres encore… La soirée fut un succès total au-delà de toutes nos espérances, encore un grand merci à tous, et particulièrement à tous ceux qui se sont déguisés. “Pas de pitié pour les nonante” pourrait bien devenir un concept de soirée en soi, et pour ceux qui ont pleuré leur maman quand la musique s’est éteinte à 1h45 pile, nous promettons de faire notre possible pour que la suivante se fasse dans un lieu plus grand et jusqu’aux petites heures de la nuit! 

« Combat de nègre et de chiens »

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« Combat de nègre et de chiens ». Non ce n’est pas là le slogan d’une affiche politique, mais l’intitulé d’une œuvre signée Bernard-Marie Koltès. Un des auteurs français les plus joués au monde, et pourtant peu joué en Suisse… Alors que les dernières affiches de l’UDC soulèvent à nouveau le problème de la xénophobie, cette pièce de théâtre nous rappelle que la peur de l’autre est un problème d’ignorance, complexe, ancien, se déclinant de diverses manières, à différents endroits, à différentes périodes. Elle date des années 1980, mais traite de sujets ma foi indémodables, et donc actuels : le racisme, ses conséquences, mais aussi l’argent, la solitude, l’alcool. Le tout dans un langage incisif.

Quand le X se raconte

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   Qui n’a jamais jeté un coup d’œil en direction du Moderne dans l’idée de reconnaître un client potentiel ? Qui ne s’est jamais demandé ce qui se tramait à l’intérieur de cet endroit étrange ? Selon les bonnes mœurs, la question ne se pose même pas. Seulement voilà ; situé sous gare, au beau milieu d’une rue à forte affluence, dans un bâtiment imposant datant du début du siècle passé et arborant de grandes lettres rouges, on ne peut tout simplement pas le louper. Nous sommes tous déjà passés par là au moins une bonne dizaine de fois. Et la curiosité persiste…  Perçu comme le lieu de luxure et de débauche par excellence, cet endroit a développé tout un imaginaire passant du vieux lubrique dégoulinant au pervers en imper’. Mais tous les jours, des gens s’y rendent non pas pour s’adonner à certains plaisirs, mais plus simplement pour gagner leur vie et faire tourner la machine. C’est à travers le regard de ces personnes que je vous propose de percer le mystère du Moderne.

Electro sous les projos

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 Le Loft, le D !, le Romandie, le Bourg, la Ruche, le tout accessible avec un seul et même billet, sans compter la Place de l’Europe et ses nombreux concerts gratuits. Autant dire que le festival est inévitable pour toute personne qui décide de sortir ce week end à Lausanne. D’année en année, Electrosanne prend de l’ampleur. Alors qu’en 2006, lors de sa première édition, 500 festivaliers avaient répondu à l’appel, plus de 2000 personnes s’y sont déjà rendues vendredi soir. Et ce n’était que le premier soir ! Du 18 au 20 septembre, plus de 70 artistes mettent à l’honneur les différentes facettes de la musique électronique : minimale, house, garage, bassline, dubstep et j’en passe. En gros, pas que du fluo… Connaisseurs et amateurs y trouveront leur compte. Petit retour sur les débuts de cette quatrième édition avec Anouck, attachée de presse du festival.

Initiations à la culture Hip Hop

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  La fameux discours sur le hip hop authentique et le hip hop mtv ne se présente plus. Comme chacun le sait, les « djeuns » ont cette fâcheuse tendance à être amateurs de tout ce qui brille, au point d’en oublier la culture qui se cache derrière ces deux petites syllabes. Et ce ne sont pas les seuls. Alors Sylvain et Karim ont décidé de ne pas en rester là. Futurs animateur et éducateur, ils ont imaginé dans le cadre de leur formation un projet à la fois éducatif et culturel, qui regroupe les différentes composantes du hip hop : KACHH. Il s’agit d’un Kiosque A Culture Hip Hop réunissant passionnés et actifs du milieu, pour proposer des ateliers de graffiti, break dance et écriture. Gratuits et ouverts à tous.

FCC : un championnat interplanétaire !

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Pour la sixième année consécutive, Lausanne a accueilli du 22 au 23 août une compétition ouverte à tous : le championnat interplanétaire de FCC. Mais oui, souvenez-vous ! Ce jeu où la feuille emballe le caillou, le caillou casse les ciseaux et les ciseaux coupent la feuille. Manque un peu d’adrénaline ? Détrompez-vous. Feuille Caillou Ciseaux (ou papier pierre ciseaux) a acquis un véritable statut sportif. Il ne s’agit plus de mettre nonchalamment ses mains derrière son dos en chantant feuille caillou ciseaux, uuuun deuuux trois !  tout en se balançant de droite à gauche, assis au fond d’une cour de récré. Pendant le championnat, c’est face à face, le regard vif et sans dire un mot que les concurrents s’affrontent dans le but d’arriver en finale. Ils agitent leurs poings en silence, et savent qu’au troisième coup arrive l’instant fatidique où il faudra choisir entre feuille, caillou ou ciseaux. Le tout à une vitesse affolante, et sous l’œil attentif d’arbitres avisés, comme moi…

Rétrospective festivalière

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Caribana, pour Mehdi et moi ce fut une première. Chaleur et musique en plein air, parfait pour ouvrir le bal. En plus, ce festival a semblé échapper à toutes les malédictions propres à ce genre d’événement : pas de pluie ni de mec aux dreads locks qui te fouettent le visage en se trémoussant pendant un concert… (lire l’article Caribana, Oh oui j’aime ça !) Ensuite, je me suis rendue au prestigieux Montreux Jazz. C’est au festival off que j’ai passé la plupart de mon temps. Eh oui les places sont chères, mais les concerts gratuits n’ont rien à envier aux payants ! (lire l’article Montreux Jazz) Puis ce fut le tour du fameux Paléo. Accréditée toute la semaine, j’ai pu y voir les coulisses, les têtes d’affiche, découvrir les têtes émergeantes, et prendre le temps de profiter du reste (lire l’article Paléo 2009). Car au-delà de la musique, ce que l’on retient ce sont des ambiances. Chaque festival a la sienne et c’est souvent ce qui fait qu’on y retourne d’une année à l’autre. C’est donc là où j’ai passé le plus de temps, que j’ai tenté de retranscrire et partager une ambiance en sons et en images. Paléo 2009.

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